LES BRAS AIMANTS


Acceptant que les Christs aux bras cloués ne pourraient jamais l’étreindre,
Que les Madones de plâtres au yeux crevés ne pourraient jamais le voir…
L’enfant s’abandonna, en pleurant…
reconnaissant son humaine blessure…
Sa soif d’un amour si pur…
En un instant, un ange lumineux, réconfortant
le porta aux pays des fleurs de bras aimants…

L.V

Image: Les fleurs de bras aimant Laurent Vitureau

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